Aujourd'hui on a regardé un très, très, très bon film d'animation qui m'a beaucoup frappé et dont j'aimerais partager avec vous.
L'Homme qui plantait des arbres, c'est une nouvelle d'un écrivain français Jean Giono à partir de laquelle Frédéric Back a créé ici, à Montréal, son film d'animation, d'après moi, absolument génial.
Il a reçu de nombreux prix, dont l'Oscar 1987, si ce fait est important pour vous. Mais je pense que c'est suffisant d'avoir reçu ma recommendation, n'est-ce pas? Donc, je vous recommande d'aller le louer, je le conseille vivement, je le suggère, j'insiste, enfin!
Ici dans le site de l'animateur et cinéaste Frédéric Back vous pouvez regarder un petit extrait d'un film.
À propos, la verrière que vous voyez dans la station Place-des-Arts a aussi été créée par Back.
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15 commentaires:
Est-ce que le film est long?
Un petit extrait de 1:09 min. n'est pas suffisant pour donner une oppinion !!!
Mais, si tu dis que c'est bon, ça doit être vrai :-)
oui, tout à fait, la loi de conservation de l'énergie marche bien!!! Je suis très contente d'avoir possibilité étudier avec elle.
en ce qui concerne ce film, prend-le, ça vaut la peine. L'histoire est peut-être assez classique et traditionnelle (dans le sens de la simplicité évidente), mais bien écrite et super bien faite dans l'animation. Pense pas longtemps, vas-y le louer! :)
haha, pardon, j'ai donné une reponse à la fois pour tes deux commentaires :))
C'est parfait :-)
te souhaiterai pas bon anniversaire cette année. me faut du temps pour que ça cicatrise.
quand j'étais avec toi, tu t'amusais à toujours dénigrer mes efforts. et tu riais de ma souffrance alors que je continuais à te soutenir quand tu te sentais mal.
j'aurais voulu m'ouvrir au monde avec toi, mais tu faisais tout pour m'enfermer, et que je me sentes mal. chaque jour.
aujourd'hui je suis bien en moi-même, mais je déteste le regard des gens. tu pourras dire que je l'ai bien cherché, mais ça serait trop facile.
tu as toujours compris les choses de travers. je n'ai jamais voulu profiter de personne. et quand je le disais, c'était par désespoir.
c'est tout.
un jour tu pourras venir voir mon jardin. mais ne t'attend pas à un grand sourire de ma part. c'est peut-être trop tard pour certaine choses pour moi.
voilà
nan!
j'ai vu trois biches qui couraient dans un champs, ce soir. me disais qu'au milieu de toutes ces maisons, elles devaient passer leur temps à se cacher, ou alors qu'elles devaient sortir surtout la nuit.
bonne soirée
moi aussi je souffre et j'ai du stress, mais moins maintenant. je sais ce qu'il me faut. je ne veux plus essayer de ressembler aux autres à tous prix. j'ai rejeté des valeurs humaines dont je me sentais indigne, parce que je me sentais faible. et je pense qu'un homme, aussi fort soit-il n'est pas grand chose dans l'univers. et qu'il n'est rien tout seul. moi, j'ai du mal à me sentir bien au milieu des autres humains. depuis longtemps. mais je veux continuer à aimer, parce que sans ça, c'est comme être mort.
aujourd'hui, je suis très seul, mais je veux continuer à aimer.
et je n'aime pas qu'on décide à ma place de qui je suis.
j'aurais aimé te revoir. il faut que j'arrête de venir ici.
je me rappelle de trucs bien souvent qu'on partageait. c'est quand on m'a interdit de te parler que je suis devenu encore plus dingue. surtout qu'il y avait des tonnes de mensonges dans ce qu'on t'avait dit sur moi. c'est tout.
je voulais construire quelque chose avec quelqu'un. mais pas être traité comme un objet.
j'aurais aimé qu'on se reparle normalement. il ne faut plus que je revienne ici. j'aurais aimé que tu me répondes.
je suis seul. c'est presque inutile d'aimer et de faire des choses quand on est seul. j'aurais voulu partager.
je m'en vais. j'aimerais bien que tu me reparles un jour
je n'étais pas "quelqu'un", quand on s'est connus. au fond, je n'avais aucune volonté propre, aucun désir personnel authentique. j'étais une sorte de fantôme, subissant. une chose plutôt qu'un individu.
ces derniers temps, je crois pouvoir dire que je finis par me bâtir une personnalité, et même développer un sorte de morale personnelle.
je me sens vivant, et j'ai une sorte de but qui se profile, ou en tous cas, une manière plus claire de voir les choses, la vie. comment se comporter. ce qui est bien, ce qui est mal.
tu aurais eu besoin d'un modèle, de quelqu'un qui t'oriente, te guide, en plus d'une personne qui soit là quand tu en avais besoin, quand tu allais mal.
je ne pouvais pas être quelqu'un comme ça. je pouvais juste être là. c'est tout ce que je pouvais faire.
je te laisse maintenant.
tu peux encore me parler si tu veux
c'est tout
j'ai changé
j'espère que je ne me manque pas trop. regain de jean giono est chouette.
je crois qu'il est plus tard que 16h51.
à plus!!
pauvres analystes de la pensée.
toujours s'arrêter.
tsstss!
bye
j'espère au moins que tu mets tes lunettes plus souvent maintenant.
ça peut servir, des yeux, ou une bonne vue.
qu'est-ce que t'étais chiante!
bref!
bise
bien travaillé aujourd'hui. t'aurais bien offert les fruits de mon labeur, mais c'est encore trop tôt... un arbre, c'est plus long à faire pousser qu'à découper à la hache. plus facile de détruire que de construire.
bise
bon anniversaire, avec 11 jours d'avance. pas la peine d'insister.
je crois que t'existes.
je vais vivre avec ces souvenirs de toi, sans chercher à savoir ce que tu deviens.
les rêves qu'on faisait ensemble, vais les vivre seul. en partie
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